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mardi 6 octobre 2020

 

Estelle Fenzy dans ce recueil "Chut (le monstre le dort)  développe une poésie de l'intime qui évoque par petites touches, le désarroi face à la maladie, à la violence de la douleur, la fuite du temps mais un temps que l'on peut chercher à improviser, à s'approprier, à partager comme « un fruit rare » en  tentant de se délester de « toutes les tristesses envoyées par le fond » et de cueillir "des bouts de jardins"

L'auteure dans un style dépouillé à l'essentiel rassemble dans ce recueil des petits fragments, qui évoquent les haïkus, des pages à lire et à relire pour s'imprégner de l'atmosphère des vers les paupières closes.


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