Estelle Fenzy dans ce recueil "Chut (le monstre le dort) développe une poésie de
l'intime qui évoque par petites touches, le désarroi face à la
maladie, à la violence de la douleur, la fuite du temps mais un
temps que l'on peut chercher à improviser, à s'approprier, à
partager comme « un fruit rare » en tentant de se délester
de « toutes les tristesses envoyées par le fond » et de cueillir "des bouts de jardins"
L'auteure dans un style dépouillé à l'essentiel rassemble dans ce recueil des petits fragments, qui évoquent les haïkus, des pages à lire et à relire pour s'imprégner de l'atmosphère des vers les paupières closes.
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